mercredi 25 septembre 2013

Un chacal, deux ballons, trois possibilités...

25 septembre, été indien, une petite journée de congé à solder… …ça sent bon la sortie vosgienne…
L’idée générale est simple, grimper le Grand Ballon, parcourir le sud de la route des crêtes, et agrémenter le tout de petits cols sympathiques (les Herrenfluh, Silberloch, Amic, Hahnenbrunnen, et Herrenberg).
Voire plus si l'envie est là, le Ballon d'Alsace étant à portée de vélo.

C’est l’occasion ou jamais : demain je serai plus vieux d’un an, et à mon âge ça compte, et en fin de semaine pour couronner le tout l’hivers s’installe (d’ailleurs ça promet pour les Lavoirs VTT à Metz !) à nouveau. Comme chaque WE en fait... C'est bien fichu...

Et donc me voici à pied d’œuvre sur les coups de 12h. C'est déjà tard, mais entre les barres énergétiques en rupture de stock dans mon armoire spéciale, les travaux sur la route, et un optimisme légèrement exacerbé sur le temps de voiture nécessaire, finalement pas si mal.

L’ascension du Grand Ballon est assez longue, mais plutôt facile : 21 km (tout de même), mais seulement 5% de moyenne en raison d'une portion descendante vers le Col Amic. Les 6 derniers kilomètres se méritent malgré tout, puisque la route se redresse légèrement à 8%.

Le Grand Ballon


Mais c'est surtout le vent qui souffle vraiment très fort en latéral, ça promet pour la suite où je l'aurai de face... Et sans coupe vent, juste le maillot des Chacals, tout classe mais tout léger... Quand on n'a pas de tête, on a des jambes ;-)

Plus de spectateurs qu'aux Ballons Vosgiens...
Bref, je grimpe en mode touriste, bien décidé à ne pas me couper l’appétit, ayant repéré la présence au sommet d’une petite auberge portée sur la diététique sportive.

Miam.
Un rapide encas, une course en zig zag entre les (très nombreuses et âgées) touristes allemandes pour atteindre les toilettes, et c’est reparti, pour une traversée des crêtes jusqu’à la route des américains. il fait frais, même froid, et le vent fait faire des embardées... Dommage. Mais les paysages sont toujours magnifiques. Sans doute de quoi faire à flanc de montagne en VTT, pour qui aurait le niveau technique ! 




Le tronçon de La Bresse au Thillot n'est pas aussi agréable, et avec le vent maintenant complètement de face, plus long que je l'aurais imaginé. Ceci dit, les jambes sont en état, je me suis bien alimenté, et je décide de rallonger jusqu'au Ballon d'Alsace. Son ascension n'est pas si facile, avec 9 km à 7%, surtout avec près de 2000D+ déjà dans les pattes... Mais elle est d'une régularité à toute épreuve, il suffit de brancher le pilote automatique.

  






La fin n'aurait dû être que descente puis looooong faux plat descendant vers Cernay. Ce sera à peine plus, merci au GPS ;-).

Bref, un très joli parcours, qui offre de superbes panoramas pour une distance relativement restreinte (moins de 140 km pour 3000 D+). Pas si fréquent dans les Vosges où on grimpe le plus souvent dans les bois pour redescendre dans les forêts, ce qui limite souvent la visibilité à 2 ou 3 troncs ;-)
(bi-)Place au VTT, maintenant !!


La trace :

vendredi 13 septembre 2013

Les Chacals Verts passent en mode Enduro - starring Rémy Absalon

J'ai entendu parler de la société IRWEGO dans un magasine de VTT. Cette société organise des séminaires dans les Vosges, principalement pour des entreprises, mais aussi des stages VTT d'Enduro. L'Enduro est une discipline de VTT qui se concentre sur la descente. Ce n'est pas aussi extrême que le VTT de descente tel qu'on voit parfois à la télé, mais c'est déjà très engagé et ça laisse une part au pédalage (oui, on monte parfois en peu en Enduro). Je ferai peut-être un jour un article sur ce blog pour expliquer les différentes catégories de VTT, mais pour le moment, retenez que l'Enduro c'est globalement descendre comme des poneys des pentes pleines de cailloux qui glissent et de racines qui piègent.

Revenons à notre stage. Celui-ci est encadré par Rémy Absalon. Vous me direz "Absalon, comme Julien ?". En effet, les deux sont frangins, et Rémy est au VTT de descente ce que Julien est au VTT qui monte : un champion. Il a remporté plusieurs fois la mégavalanche de la Réunion et de l'Alple D'Huez (je vous encourage à regarder des videos de Megavalanches sur youtube, ça vous donnera une idée du niveau du gars), et est actuellement 5ème des Enduro World Series qui ont débuté cette année. Aussi, moi quand on me dit "C'est le frère du champion", je réponds "Non, c'est l'autre le frère du champion" ;op

Lorsque j'ai découvert ces stages, j'ai immédiatement pensé y emmener les chacals verts. C'est sûr qu'on a une pratique plus Cross Country (on monte et on descend, mais pas trop engagé), mais cette dernière année on a pas mal progressé dans le domaine descendant. J'en veux pour preuve nos petits rides sur le Single Cross, le Godillard, la Divel Russpan et nos essais sur la Nickel Chrome. J'ai donc effectué ce qui s'appelle en langage scientifique un mangeage de cerveau auprès des copains pour qu'ils m'accompagnent le 12 septembre dans les Vosges pour découvrir l'enduro. Bilan des courses : seul Fabrice est motivé. Pas vraiment surprenant si on prend en considération les appétits des uns et des autres en terme de prise de risque. 

Il nous faudra attendre quelques mois avant le jour J, période pendant laquelle on a bassiné tout le monde avec notre stage à venir et où on s'est passé en boucle les vidéo de Rémy sur le net. Mais le jour J-1 est enfin arrivé et c'est fin fous que nous débarquons le Fab et moi au Formule 1 de Chavelot. Je ne donnerai pas de détails précis sur cette nuit au Formule 1, mais en tout cas elle nous a rappelé que le vrai confort passe par une salle de bain et un WC privatifs, qu'il ne faut pas oublier son code de chambre quand on va tous les deux aux WC à 2 h du mat', et que si Fab boit un café à 21h, il peut papoter jusque 3h du mat' (au moins). Le lendemain matin nous sommes néanmoins fin prêts pour le grand jour.

 

Nous arrivons presque à la bourre sur le parking de Marcot voyage (point de rendez-vous) pourtant situé face à l'hotel. Tous les autres sont déjà là, on salue Rémy en vitesse et on embarque dans le mini-bus conduit par Gwen, le collègue de Rémy, lui aussi enduriste de très bon niveau de l'équipe Commencal. Nous attrapons le reste des stagiaires en chemin, et filons vers notre première descente.

Là, distribution du matos. Je me vois allouer un magnifique Commencal Supreme racing orange, lourd comme un cheval mort, mais Rémy m'assure qu'en descente c'est du velours. Fab hérite lui d'un Commencal Meta doté d'un selle télescopique (l'ancien vrai vélo de compét de Rémy), qui lui confirmera qu'il en a absolument besoin d'une sur son vélo.



On démarre sur une petite monté de 5 minutes pour se chauffer avant de passer aux choses sérieuses. Enfin, on démarre... les autres démarrent. Car après deux tours de roue dans la monté, ma chaîne se coince quelque peu. Imprudent de sa part quand on sait à qui elle a à faire. En effet, je n'ai pas bien senti qu'elle se coinçait et quand je m'en suis rendu compte, elle gisait déjà par terre, cassée. Je hurle après Gwen pour qu'il ne parte pas au point suivant, et Rémy redescend pour réparer l'engin. Je sens qu'il se dit "ça commence bien". Le vélo réparé, Rémy remonte le groupe rapidement pour éviter que les autres ne se trompent de chemin. Je décide de lui prendre la roue, car après tout on est des crosseurs, nous, alors les montés on connait ! J'ai réussi à tenir jusqu'au bout, mais franchement on sent la différence entre ce vélo et le mien. J'ai l'impression que la grosse suspension absorbe la moitié des efforts que je fournis pour monter. De plus, le développement en 36/32 est bien éloigné de mon développement du hobbit (22/34). D'ailleurs dans les montés suivantes qu'on aura l'occasion de faire, cela se confirmera et je devrai, tristement, monter parfois à pied. Big up au passage à Faby qui nous aura fait, à un moment donné, une monté très compliqué entièrement sans poser pied.

Mais on n'est pas là pour les montées et on entame vite la première descente. Celle-ci n'est pas trop compliquée, l'objectif de Rémy étant de voir le niveau global du groupe. Premier constat : la grosse susp du vélo qui m'a fait mal dans la montée absorbe tout tout tout dans la descente. Avec la vitesse, j'ai raté 2 ou 3 trajectoires, le vélo m'a tout pardonné. Absorbées les grosses pierre du chemin, avalés les trous mal placés.

Voyant qu'on s'en sortait pas mal, Rémy nous a donné des explications sur la prise de virage, et nous entraîne vers une descente plus technique. Là, on ne plaisante plus et sur un passage j'ai bien cru que ça ne passerait pas. Mais une fois de plus, le vélo a compensé. Il aura fallu quand même descendre à pied une rigole pierreuse vertigineuse. Sans vitesse à l'engagement, pas possible de se lancer.

Après cette dernière descente, on reprend le mini bus conduit par Gwen pour remonter à un autre endroit. On est excités, et en même temps un peu apeurés en se disant qu'on a probablement fait les trucs les plus faciles, et que ce qui arrive sera totalement effrayant. On n'en reste pas moins ultra heureux et souriants.


 

Rémy nous file des conseils sur la position sur le biclou, et se positionne aux endroits dangereux ou très techniques pour nous assurer, nous donner des astuces et nous corriger. C'est le cas notamment sur un passage d'un double rocher surélevé. Il nous présente les différentes options, et celle qu'il privilégie me fait particulièrement peur. Il faut d'abord s'embarquer sur le bord du chemin, pour ensuite engagé la roue sur le rocher et enrouler la grosse marche de pierre qui fait plus de 50 cm de haut. Tout le groupe regarde l’obstacle, dubitatif, et quand Rémy demande qui se lance, un gros silence plane. Mais pas longtemps, car filant comme Actarus vers Goldorak, Fabrice attrape son Meta, remonte un peu la pente pour avoir de l'élan et se jette sur l'obstacle. "Voilà, pose la roue, lâche le frein avant, regarde au loin" lui souffle Rémy, et notre Faby national se joue de l'obstacle avec facilité. Regonflés par ce beau franchissement, nous nous jetons tous sur nos machines. Je prendrai la même trajectoire avec le même succès, et on se réjouira mesquinement de voir que cela n'est pas aussi aisé pour tout le groupe.

Ce passage nous aura galvanisé. Car si jusque là on était à la fois excités et un peu apeurés, à partir de là il n'y a plus que du plaisir.

On enchaîne les descentes à bon allure, et on profite des transferts ou des pauses pour poser des questions à Rémy et Gwen.

On travaille pas mal les virages en épingle, et franchement c'est pas évident. Heureusement Rémy est là pour les conseils et pour nous rattraper. Sur un virage particulièrement vicieux, j'ai du laisser le vélo partir sans moi et fut, heureusement, rattrapé par Rémy. On plaisantera plus tard sur ce passage, Rémy prétendant d'abord qu'il voulait rattraper le vélo avant de plaisanter que lui aussi avait senti que quelque chose s'était passé entre nous ;op. Moi je pense surtout qu'il doit encore avoir mal aux bras ;op

La pause de midi se fait dans un chalet d'altitude on un groupe de randonneurs avait allumé un feu. Ah oui, j'ai oublié de préciser qu'il faisait un temps de chien. Il a plu toute la matinée, quasiment à plein temps. C'est marrant car sur le coup ça nous attristait, on avait peur que ça nous gâche la journée. En fait, ce fut anecdotique, car on n'a pas fait attention du tout au temps qu'il faisait. Certes, ça caillait quand on s'arrêtait et on était mouillés, mais franchement on était tellement à fond dans le truc qu'on n'y a pas fait gaffe. On s'est même après réjouis de se dire qu'on avait fait toutes ces descentes de mammouths dans des conditions bien glissantes.

Donc on arrive au chalet, on se réchauffe un peu, certains se changent (pas Fab et moi, on voulait faire une photo avec Rémy avec nos maillots des chacal verts ;op) et on mange. Cela fait du bien ce petit verre de blanc, ce bon sandwich au poulet et cette excellente tartelette à la brimbelle. Merci Gwen !!! On profite de ce passage pour prendre la pose avec Rémy, qui a gentiment accepté de faire le signe des chacals.

 
 

Nous sommes rejoints par Jérémie Arnoult, autre membre du team Commencal, qui a fait toute la montée sur le vélo. Vue l'altitude à laquelle on est, on se doute que le garçon est un costaud. Il nous montrera plus tard qu'il est aussi fou qu'il est fort, en descendant un escalier abrupt d'une trentaine de marche de bois mouillées. Faby et moi sommes persuadé que ce jeune ira loin, et posera avec lui pour une photo qui vaudra son pesant de cacahuètes dans 1 ou 2 ans (on lui a fait promettre :op).


 

L'après-midi se passe comme un charme. Il ne pleut plus, on a plus d'assurance, et Rémy nous emmène dans des endroits magnifiques et formidable pour rider. Au fur et à mesure du temps on réussit mieux nos virages en épingle (appui sur la jambe extérieure pour écraser le pneu, les épaules dans la pente, relâcher le frein avant à mi-virage, le regard vers la sortie), et on se surprend à trouver certains obstacles indiqués par Rémy plus faciles que décrits.

On finit la journée par une descente facile mais ludique. C'est malin car même si ça descend, c'est bien crevant et on commence tous à être émoussés, donc il vaut mieux éviter les passages risqués. On finit donc sur les chapeaux de roues et on prend un goûter en bas. Dernière occasion pour échanger quelques mots avec les champions (et quelques vannes aussi). On prend une dernière photo avant de rendre les casques, qui, et ce n'est pas plus mal, n'ont pas servi.


 

Puis c'est le moment de rentrer. On remercie chaleureusement Rémy et Gwen pour cette journée vraiment formidable, et promet de guetter la sortie du calendrier pour s'inscrire à nouveau l'an prochain. Puis nous rentrons chez nous, des souvenirs plein la tête et un sourire béat scotché sur le visage.

Au moment où j'écris ces lignes, j'ai été jeter un œil sur le calendrier de cette année pour constater qu'un stage sur un week-end est prévu les 26 et 27 octobre. Qui est partant ?

mardi 3 septembre 2013

Sur les crêtes des Vosges (et dans les vallées aussi, du coup ça monte et ça descend)

Quelques lignes de nouvelles du grand sud et de l’asphalte : dimanche, c’était la dernière cyclosportive de ma saison, les Ballons Vosgiens à Gérardmer… Alors oui, ce n'est pas du VTT, c'est du bon chacal au goudron, mais je m'en moque, je squatte le blog.

Un parcours roulant malgré la dénivelée (nom féminin synonyme de dénivelé), avec des difficultés modérées :


  • Le col de la Schlucht, 11 km à 4%
  • Le col de Bramont, 8 km à 5%
  • Le col des Feignes, 6 km à 4,5%
  • L’ascension final vers la Mauseleine, en paliers, passant notamment par le Col de Grosse Pierre.


  • Pas de gros pourcentage donc, un peu moins de 2000m de D+, et rien de suffisamment extrême pour exploiter ma mincitude bondissante… …Mais ce n'est pas grave, les panoramas sont superbes, le tracé empruntant notamment la route des crêtes et les 13 lacets du col de Bramont, pour arriver en altitude à la Mauselaine. Et c’est en plus l’occasion de rouler avec l’ami Matthieu pour la 1ère fois depuis… …2010 ?

    Afin de ne rien laisser au hasard, nous avions programmé une reconnaissance le WE précédent. Occasion profiter des paysages à la cool, dans la chaleur du mois d’août, à 3 puisque mon père, le célèbre Dany Boy, se joignit à l’entraînement.
    Bon. Autant dire que chaleur il n’y eu point, mais que pluie il y eu beaucoup. Vraiment beaucoup. A tel point que mes yeux brûlaient  le sel de la transpiration coulant sous des litres d’eaux. Néanmoins, 90% du parcours furent reconnus, dans une certaine bonne humeur. Dany Boy aura même cette phrase mémorable : «les paysages sont vraiment beaux ».
    Jugez-vous-même. Moi je vois des cyclistes mouillés et de la brume, dans différentes situations plutôt humides…




    Néanmoins, la pluie aura eu un bon côté, puisque désireux de revoir les sites éclairés, le Dany en question s’inscrira finalement à l’épreuve, rejoint par Stéphane et Jean-Pierre.
    Nous sommes donc 5 le jour J.

    La météo est malheureusement trop fraîche pour arborer le maillot des Chacals…

    1166 inscrits d’après les organisateurs, ça fait du monde…

    Nous avons décidé Dany Boy et moi de faire le parcours intégralement ensemble. Après un départ prudent dans les rues de Gerardmer, nous montons la Schlucht calés sur un bon petit rythme d'endurance. Le brouillard a plutôt tendance à se dissiper et laisse profiter des paysages.

    La montée de la Schlucht
    Ca passe ! ;-)
    Ça grimpe, mais pas fort...
    Arrivés sur la route des crêtes, nous sommes malheureusement d'abord isolés, puis perdons de longues minutes à tirer un petit groupe avant d'être rattrapés par un peloton d'une 30aine de cycliste. Le soleil se lève franchement et les paysages sont superbes jusqu'au Markstein et à la descente vers Kruth.

    L'arrivée sur la route des crêtes
    A partir de celle-ci, nous ne trouverons plus de groupes bien constitués, juste quelques odieux suceurs de roues isolés.
    Et méthodiquement, nous doublerons dans les ascensions, et nous serons rattrapés dans les descentes, l’âge apportant la prudence de l’expérience… ;-) (voir d’ailleurs dans la presse...)

    On ne descend pas "si" lentement non plus...



    Le parcours a le bon goût de finir en côte,  et nous permet une ultime remontée pour un tir groupé en milieu de tableau.

    Arrivée au col de Grosse Pierre
    Jean-Pierre est 290ème en 3h09, Stéphane 325ème en 3h15, mon père et moi 380èmes en 3h22 (soit 26,5km/h de moyenne officielle, quand je disais que c'était roulant...), et Matthieu qui remettra le couvert pour le triathlon dimanche prochain 478ème en 3h40. Et comme on est tout content et tout fier, on squatte le podium comme des chacals !

    Le regret de ne pas pouvoir arborer le maillot est tellement important que j’en oublie le signe de ralliement…

    A moins que cet oubli ne soit dû à un début de fringale, et qu’une fois calmée… ;-)
    Bref, une belle épreuve, un grand bravo aux organisateurs.
    La suite, maintenant, c’est l’AREMIG si la météo le veut bien, et la Rando des Lavoirs en VTT à la fin du mois.


    PS : la trace pour ceux qui ne sont pas inscrits dans Strava : Les Ballons Vosgiens 2013 (manque le début du parcours, un oubli d'enregistrement au départ)...
    PS2 : quelques minutes après l'arrivée, je retourne à mon vélo posé sur une main courante. Pneu avant totalement à plat. Si ce n'est pas de la chance, ça...