samedi 22 octobre 2016

Cent cols (et quelques)...



Et voilà, ça y est, je suis officiellement le membre #7450 du club des Cent Cols.

Ça n'a jamais été un objectif, et ça m'aura donc pris plus de temps (5 ans) et de kilomètres (grosso modo 40000 km) qu'à quelqu'un de réellement motivé, mais j'ai fini par terminer ma grille et par la faire valider ;-).


Historiquement, j'ai monté mes premiers cols en VTT sans vraiment m'en apercevoir, au départ de Géradmer avec le Hobbit (qui de fait les a escaladés aussi !).
Puis passant au vélo de route en 2011, j'ai commencé à en gravir "consciemment". Et j'ai découvert conjointement le fameux club et des parcours permettant d'en franchir beaucoup en en peu de kilomètres (notamment autour de St Dié via des brevets permanents).
Alors à toutes fins inutiles ;-), j'ai commencé à les archiver. L'attrait pour les parcours montagneux et la facilité de pointage dans OpenRunner (qui met gratuitement à disposition dans son interface le catalogue des cols français officiels) ont ensuite fait le reste...

Bref, c'est l’occasion d’en dresser un rapide palmarès en quelques lignes…


Les 1er montés :


En VTT, le Collet de la Mine, avec le Hobbit, à proximité de Gérardmer ; en col Routier, le Donon (hors micro-col grimpé « accidentellement »)


Le Hobbit de la vieille époque monte un col sans le savoir (à moins que ce ne soit avant ou après cette photo !)


Le 100ème :


Aucune idée ! Je pensais qu'il s'agissait du Col du Mont de Fourche, dans les Vosges de Haute Saône, mais je me suis rendu compte après coup que j'étais déjà à plus de 100 (113 en fait)...

Après le 100ème col qui finalement ne l'est pas !


Le plus escaladé :


Le Donon, au moins une dizaine de fois, entre les 2 routes forestières et les 3 accès routiers. Proximité oblige.
Rappelons au passage qu’un col, même monté 10 fois, par des routes différentes, ne compte que pour 1.


Souvenir de mon vieux Trek...

Les plus improbables :


Ceux de la Lorraine des plaines, autour de Nancy et de Metz. Et oui, car il y en a, 4 routiers, 1 muletier (cols du Rudemont, du Minet, de Sainte-Geneviève, de Vassuchamps). Tous à moins de 400m d’altitude, évidemment…

Le redoutable Col du Minet (on voit que c'est pentu, non ?)


Les moins élevés :


Ceux du Massif des Alpilles, 125m pour le plus bas (le Pas de Clavel). Mais sous le cagnard et avec le Mistral, ça reste une difficulté ;-)

Et ça reste du joli paysage de montagne !


Les plus élevés :


Les cols muletiers surplombant Peisey et les Arcs, grimpés ou traversés à VTT (notamment le Col de la Chal, 2450m)


C'est haut, c'est beau !


La plus grande brochette en une même sortie :


11 cols, sur l’intégrale de la Route des Crêtes Vosgiennes en 2014 (https://www.strava.com/activities/181661559), pour seulement 1700m D+. Collectionner les cols ne veut pas forcément dire engloutir un dénivelé de malade (dans une certaine mesure ;-))


Fait souvent sombre dans les Vosges...


Le plus virtuel


Le Mountain Pass de Zwift. Bon, celui-là, évidemment, il ne compte pas !

Mais il est dur quand même ;-)


Le plus pluvieux :


Là on a du choix, mais le Tourmalet en 2014, c'était quelque-chose !



Le moins carrossable passé en route


C'était entre deux cols, dans le Valais, en Suisse... ...sur le conseil d'un local...

Le tout avec mes petits pneus de compet...


Les plus costauds :




Le Glandon (circonstances exceptionnelles combinant entraînement modéré, grosse chaleur et déshydratation, mais il doit faire bien mal même en forme sur une montée sèche !) ?
Joux Plane (gros pourcentage et belle exposition) ?
L’enchaînement (je triche un peu, mais ce sont mes propres règles !) Petit Ballon / Platzerwasel ?


Les magnifiques :


Ceux qui composent la route des Crêtes dans les Vosges, et notamment le Col des Bagenelles (par beau temps !!)
Le duo Glandon / Croix de Fer
Les "cols du Hobbit", Petit Saint Bernard et Madeleine.

Joux Plane
Le Glandon
L'arrivée sur le Grand Ballon
Vue sur la Madeleine (faudrait zoomer pour voir la route !!)

Les "pas faits encore et c'est dommage" :


Le Ventoux et l'Alpe d'Huez (non, je plaisante, ce ne sont pas des cols !)
Le Galibier
Le Cormet de Roselend (moyen d'y remédier à moyen terme ;-))
Et beaucoup d'autres !!



jeudi 6 octobre 2016

L'Epopée


Ça fait un moment que cela se murmure en coulisse. Des frissonnements sont perceptibles au sein de la petite communauté de la Chacalerie Verte. Il est temps pour moi de l’annoncer clairement, haut et fort : l’Épopée, c’est pour 2017 !


Pour ceux qui débarquent, l’Épopée c’est un peu la suite du Périple. Et pour ceux qui débarquent vraiment, le Périple c’était ça : http://lepoc.blogspot.lu/2015/06/le-periple-jour-1.html


J’ai longtemps hésité avant de choisir quand faire l’Épopée. 2016, un an après le Périple, c’était trop tôt. Il faut laisser passer du temps pour que l’envie soit à son paroxysme. 2018 ? Ouarf... Ca fait loin !!! Bon bin 2017 alors ? Vendu !

La semaine choisie est la même que pour le Périple : la semaine après le 23 juin, autrement dit du 25 juin au 1er juillet.
Plusieurs bonnes raisons pour cela :
  • on n’est pas encore en période de vacances
  • les jours sont parmi les plus longs de l’année
  • les statistiques météo sont les plus favorables pour la période
  • bin ça fait anniversaire de Périple
Initialement, je dois vous avouer que je voulais prendre la semaine précédente, afin que mes amis travailleurs luxos puissent bénéficier d’un jour à ne pas poser en congés (le 23 juin est férié au Luxembourg). Seulement, à l’issue de l’Epopée, il convient de faire la fête, et on a trouvé avec Lise une très chouette salle pour célébrer comme il se doit. Seulement, elle était déjà prise lors du week-end du 24 juin, et en cette période de mariage et fêtes de l’école, il ne m’a pas été possible de trouver d’autre salle dispo. Comme je n’imagine pas l’Epopée sans une fête d’arrivée, j’ai dû me résoudre à décaler d’une semaine. Je reparlerai de la fête d’arrivée ultérieurement, ici l’information importante c’est que l’Epopée se fera durant la semaine du 25 juin au 1er juillet.


Vous vous doutez bien que j’ai quand même déjà un peu préparé ma petite histoire. À vrai dire, à peine rentré du Périple, je réfléchissais déjà à ce qui pourrait être notre prochaine aventure de plusieurs jours sur biclous. Après avoir effectué dans le cadre du Périple un chemin entre chez Faby et le lieu d’origine de sa dulcinée, mon idée était de faire de l’Epopée un beau voyage de Hobbit de chez moi à chez moi. Et quand je dis des chez moi à chez moi, je veux dire de chez moi quand j’étais petit (bref, chez mes parents) à chez moi maintenant. Les plus perspicaces d’entre vous auront donc compris qu’il s’agit d’aller du Nord de la France (entre Lille et Valenciennes) jusque l’Est de la France (Volmerange les Minettes). Et ceci, nous le ferons en traversant majoritairement un pays estranger : la Belgique.

Voici ci-dessous la Trace que j’ai préparée (oui, j’ai déjà préparé la Trace, c’est l’élément le plus important).



Les plus observateurs auront tout de suite repéré les éléments clés.
  • distance totale : plus de 460 km (pour rappel le Périple c’était 335 bornes)
  • dénivelé total : plus de 5144 m de D+ (Périple : 4264)
Donc en gros, on a beaucoup plus de bornes qu’au Périple, pour un dénivelé un peu plus important. Ajoutez à cela un fait non négligeable : les logements ne sont pas hyper nombreux dans les coins qu’on traverse. Je risque de devoir modifier la Trace de quelques kilomètres à chaque étape pour aller chercher une habitation. On peut donc aisément se retrouver à la fin avec 500 bornes en tout. Mais comment qu’on va faire ?!? Parce que le Périple, c’était déjà pas facile !

Et bien la réponse est simple : on va faire plus d’étapes !
L’Épopée ne se fera pas sur 5 jours comme le Périple, mais sur 7 ! Oui Madame !!!
Initialement, j’avais prévu 6, qui serait déjà bien, mais plusieurs bonnes raisons m’ont poussé à faire sur 7 :
  • 7, ça porte bonheur... bon ok, c’est naze
  • en démarrant du dimanche (car on démarrera du coup du dimanche), je permets à mes proches du Nord de participer facilement pour la première étape, qui sera pour moi un retour aux sources (ah !!! les terrils !!!)
  •  en faisant des étapes plus courtes en distance chaque jour (entre 60 et 70 bornes)
    • je me laisse plus de liberté pour trouver des logements (car vraiment c’est chaud), d’autant que cette fois j’essaie de trouver avec restauration sur place
    • j’aménage du temps pour gérer les potentiels avaries et problèmes liés à la météo (car il faut bien le reconnaitre, on a été épargnés sur le Périple qui s’est déroulé idéalement)
    •  les étapes plus courtes permettent potentiellement d’arriver un peu plus tôt le soir, et de profiter un peu plus de la soirée tous ensemble 
Bref, j’ai que des points hyper positifs, je suis inattaquable !!!


Concernant le déroulement de l’Épopée, on repart sur les mêmes bases qui ont bien marché sur le Périple, avec quelques adaptations liées à notre expérience.


Concernant la Trace
  • on suite la Trace, quelques soient les pressions extérieures
  • si on ne suit pas la Trace, c’est parce que le Hobbit en a décidé ainsi
  • de toute façon, on suivra la Trace

Concernant les repas
  •  celui du matin sera pris sur le lieu d’hébergement
  • dans la mesure du possible, ce sera aussi le cas de celui du soir
  • celui du midi sera pris à l’arrache sur le trajet, au bonheur de trouver une auberge ou autre bouiboui
  • les chacals ne refusant jamais un sandwich qui leur serait offert en début de journée, si jamais l’occasion se présente, on en chope un qui peut nous sauver si on ne trouve rien, ou servir de goûter. Mais bon, c’est seulement si  le dit sandwich se jette sous nos roues

Concernant les hébergements
  • comme dit plus haut, j’essaierai de trouver des hébergements où on pourrait avoir le repas du soir et du matin, histoire de ne pas trop devoir se déplacer une fois arrivés
  • si jamais cela n’est pas faisable, j’essaierai de trouver des hébergements proches de points de restauration
  • si ce n’est pas faisable, j’essaierai de trouver proche d’une supérette
  • sinon Cyrille nous fera du pain avec des céréales chipées dans un champ


Bon, maintenant que je vous ai fait l’article, il est temps pour moi de vous faire peur. Parce que l’Épopée, ça donne envie, ça fait rêver, mais l’Épopée, c’est un truc à ne pas prendre à la légère. Alors voici les 3 bonnes raisons, avec des rimes en « on », pour NE PAS faire l’Épopée.


Raison n°1 : parce que l’Épopée, c’est pas du bidon

Celle-là, vous l’avez tous en tête normalement. Rouler 7 jours d’affilée, avec des étapes de plus de 60 bornes chaque jour, avec un D+ oscillant chaque jour entre 500 et 800m, c’est sérieux. C’est bien simple, si vous n’avez jamais fait plus de 50 bornes sur votre vélo, passez votre chemin. Parce que là, c’est plus que 50 bornes, en VTT (donc conditions balèzes), chaque jour pendant 1 semaine complète ! Pour être très clair : relisez les articles parlant du Périple et regardez le niveau de confiance qu’on affichait à l’époque. Nous étions très bien entrainés, et on n’était pas sûrs de pouvoir le faire. Donc quelqu’un qui se présente la fleur au fusil à l’Épopée ne pourra pas aller au bout, ou alors en pénalisant tout le groupe.
Par ailleurs, on ne maitrise pas la météo. Peut-être qu’on va se taper 7 jours de pluie. Il en faut de la motivation pour remonter sur le vélo quand il pleut des cordes et qu’on est fatigué. Et plus le terrain est mouillé, plus c’est fatigant !
Si vous voulez faire l’Épopée, il n’y a pas 36 possibilités : se sortir les doigts et s’entrainer dur ! C’est une des raisons pour lesquelles je vous informe si tôt.


Raison n°2 : parce que l’Épopée, ça fait mal aux jambes et au fion

J’ai déjà abordé la partie sportive dans le numéro 1, mais ici on s’adresse aux plus douillets. Se lever le matin avec l’impression que les jambes sont en bois et ne tourneront jamais, ça commence en général dès le 3ème jour. Sur 5 c’était déjà pas mal, sur 7 ça va être ultime.
Mais je ne vous raconte même pas les messages qui vous seront envoyés par votre arrière-train ! Fab-la-Fistule peut vous en faire le témoignage : même des gars habitués à la selle comme nous, tartinés de Cetavlon, on a eu mal au derche. Là encore, le mieux c’est l’entrainement pour s’habituer. Il faut aussi bien choisir sa selle et ses vêtements (no slip sous le cucul !!!)


Raison n°3 : parce que l’Épopée, ça coûte des congés et du pognon

Pour participer à l’Épopée, il va falloir dépenser sans compter. Bon, j’exagère, sauf en termes d’effort. Mais à d’autres niveaux aussi. Déjà, il faudra poser des congés : 1 semaine complète. Oui, c’est un investissement conséquent.
Par ailleurs, il y a des frais lors d’une telle aventure :
  •  l’équipement nécessaire pour une autonomie complète ou presque : porte-bagage compatible VTT, sac étanche, K-Way, lumière en cas d’arrivée tardive (ça devrait aller car rappelez-vous, ce sont les jours les plus longs de l’année)
  • il faut un vélo en état et les pièces minimales de rechanges en cas de pépin (chambre à air, maillons de chaines, cable de frein/dérailleur)
  • les logements : on va essayer de trouver pas trop cher, mais surtout on va prendre ce qu’il y aura
  • la nourriture : je suppose que vous auriez mangé de toute façon, mais c’est sûr que même une petite brasserie c’est toujours plus cher qu’un repas fait maison. Et ça, c’est sans compter la bière (et le picon)
Voilà, j’espère avoir fait peur à ceux qui n’ont pas bien saisi de quoi on parlait. Il s’agit certes d’un énorme moment de camaraderie, une des plus belles expériences que j’ai pu vivre avec des potes, mais surtout d’un vrai challenge physique et mental. Je sais que ça sonne contre-pub ce message, que vous vous attendiez de ma part à uniquement de l’enthousiasme et de l’encouragement, mais je ne voudrais pas que quelqu’un s’engage, se gâche une semaine parce qu’il n’est pas prêt, et par la même occasion gâche la semaine des autres.


Comme pour le Périple, les aménagements sont possibles. Quelqu’un qui voudrait faire une étape, ou 2, ou X, est le bienvenu. Par contre, il faudra se décider vite et bien.
Cela va déjà être un challenge assez compliqué de trouver des logements qui suivent la Trace, je ne peux pas faire à la carte et flexible. Aussi, je vous demanderai de vous prononcer AVANT le 31 décembre 2016 à 23h59 (bref le reste de cette année pour les moins perspicaces) sur votre participation, et en quel cas sur quels jours.
Je ne peux pas dès à présent vous indiquer les étapes exactes et leur difficulté. Pour vous faire une idée, prenez le planning général, découpez le en tronçons de 65/70 km, et vous verrez un peu ce que ça donne. À noter que la dernière étape se veut volontairement plus courte pour pouvoir faire la fête après.

Donc, pour résumer, ce que j’attends de vous, c’est avant le 31 décembre 2016, me dire :
  • si vous participez à l’Épopée
  • si vous faites tout ou une partie, et si une partie, quels jours

Pourquoi avant le 31 décembre ? Parce que ça va être galère de trouver les logements, et donc plus on le sait en avance, plus on a de chances d’en trouver des dispos.
Peut-être que sur certaines étapes, si on est nombreux, il faudra deux logements différents. Dans ce cas, je ferai au mieux.
Enfin, si jamais je n’arrive pas à trouver des logements pour tout le monde, je préfère annoncer clairement que je favoriserai les inscrits sur l’Épopée complète. Je préviendrai les inscrits sur des journées isolées du fait que je ne trouve pas de logement, afin que chacun puisse éventuellement en trouver par lui-même.

Je vous laisse donc les 3 prochains mois pour réfléchir sereinement, et je pense me mettre en action pour la recherche de logements dès janvier.

Passé le délai du 31 décembre, toute personne souhaitant se joindre à l’Épopée pourra toujours le faire, mais devra s’occuper de toutes les démarches pour les réservations lui-même. Je donnerai les coordonnées des endroits trouvés, mais ce sera à la charge du retardataire de se joindre au groupe.


Il est évident que je serai sans pitié avec quelqu’un qui s’inscrit et me plante au dernier moment. Si vous me dites : « je viens », j’entends par là que seul un événement majeur vous ferait changer d’avis. J’insiste, c’est un boulot monstre et chiant que de trouver les points de chute. Si je rejette des lieux parce qu’il manque une place, pour finalement apprendre que de toute façon on sera un de moins, je serai très colère.


Voilà, je pense avoir fait le tour des formalités de lancement. Comme vous pouvez le voir, la réalité nous rattrape vite. Je suis sûr que vous étiez tous enthousiastes en lisant le début du message, et que la fin laisse un goût un peu amer. Vous me connaissez, je préfère dire les choses telles qu’elles sont. Cela va être un sacré boulot d’organiser tout cela, aussi j’encourage chacun à être franc avec moi et avec lui-même. Êtes-vous prêt à faire l’investissement nécessaire à une telle aventure ?


Allez, je finis sur une note positive pour vous remettre du baume au cœur. Sachez que 100% des personnes ayant participé au Périple en sont revenues ravies. Qu’elles aient fait 1, 3 ou 5 étapes, les avis étaient unanimes : c’était une super expérience !

dimanche 2 octobre 2016

Les groupes cyclosportifs sur Nancy




Avis aux nancéiens : la sortie hebdomadaire en groupe, sans club et gratuitement, c’est possible. On entend parfois parler des « St Pierre », des « Picot », mais on ne sait pas comment ça fonctionne.  En fait c'est tout simple : on vient aux lieu et aux l'heure indiqués ci-dessous, on se présente poliment, et hop, c'est parti.

Plus de détails ? Votre serviteur a testé pour vous, voici le topo (perception par définition subjective et liée à mon niveau perso) !


Les "St Pierre"
Tous les dimanches, 8h30 (9h en hiver)
Départ de l'église St Pierre à Nancy
Rythme +++

Bon. Ça roule fort. En moyenne 120-140km avec du D+ (1200/1500m) à plus de 30 de moyenne. Rythmé mais plutôt régulier. Et quand on saute ? Eh ben on fait retour maison. Ça attend assez peu en haut des bosses, on n'est pas dans du cyclotourisme !
Comme pour les autres groupes ci-après, le peloton peut-être d'une grosse vingtaine de cyclistes aux beaux jours, une petite dizaine en hiver dans la froidure (les irréductibles, le niveau moyen a donc tendance à monter ;-))
Une trace récente à titre d'exemple :
https://www.strava.com/activities/708109583


Les "Picot"
Tous les samedis, 9h30. Pour les lève-tard ;-)
Départ du Stade Marcel Picot (pré-regroupement à la déchetterie de Frouard à 9h pour les cyclistes venant de Nancy Nord)
Rythme ++

Quelques membres doublent avec les "St Pierre" le lendemain, les autres avec le groupe "déchetterie" (le monde est petit). Ça roule aussi, mais différemment :

  • En ce qui concerne le rythme, c'est plutôt plus cool sur le plat que les St Pierre (même si il y a toujours un moment où ça envoie fort), mais à bloc dans les montées. Bref, c'est assez irrégulier, faut aimer les relances,
  • En ce qui concerne les parcours, on est sur des circuits de 2h30/3h assez roulant. Là où les St Pierre sont attirés par les longues bosses et les pourcentages, les Picot travaillent plus les talus ;-)
  • Ça attend en général quand certains pètent à l'arrière.

Une petite vidéo valant mieux qu'un long discours :


Une trace récente à titre d'exemple :
https://www.strava.com/activities/706812752



Le groupe "Déchetterie"
Tous les dimanches, 8h30
Départ de la déchetterie de Frouard
Rythme +++

Plus petit comité que les deux 1ers puisqu'il s'agit en fait du sous-ensemble des "Picot" souhaitant remettre le couvert le dimanche. D'ailleurs, certaines semaines, un regroupement se fait à Picot à 9h, mais ce n'est pas systématique.
Le rythme est plus soutenu que le samedi avec un niveau plus homogène.

Une trace récente à titre d'exemple :


Le groupe Pompey
Tous les mercredis, 14h
Départ de Pompey, proche pont de Frouard
Non testé

Jamais testé, travaillant le mercredi. Mais de ce que j'en vois sur Strava, ici aussi des coursiers communs avec les St Pierre (surtout) et les Picot, et des parcours bien rythmés en après-midi sur le nord de Nancy. Un jour de RTT peut-être ?

Une trace récente à titre d'exemple :
https://www.strava.com/activities/703768892/www.strava.com/activities/708063616


Le groupe de la Passerelle
Tous les samedis, 9h15
Départ de Laneuveville, en face de la boulangerie
Non testé

Jamais testé, mais je cite Simon Rider, c'est "pareil que les autres, mais ça roule fort". Et une preuve Strava valant mieux qu'un long discours :
https://www.strava.com/activities/590483465#14369706624 (cf. segment sélectionné, 38km/h sur 1h30 de boucle autour de Lunéville pour les non Stravaïstes ;-)).